Télémétrie et mesure de la vitesse de nos VRC
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ofayemendy
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paolo73
Pascalou
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Re: Télémétrie et mesure de la vitesse de nos VRC
Les carènes IOM n'ont rien à voir avec la grandeur... Pour la bonne raison qu'elles sont conçue pour une jauge qui n'a rien à voir avec la notre, en dehors de toutes notion d'échelle et d'hydraulique) La jauge IOM est quasi une jauge box rule type"fermée" (Tout ce qui n'est pas défini est interdit par principe), mais on peut jouer sur les formes de la carène (pas son volume ni son creux), et donc sur la largeur, ce qui est l'objet de nos études. Depuis 10 ans les bateaux ont perdu 25% de bau maxi, et nous cherchons a les "rétrécir encore" , pour voir si sur ce seul aspect modifiable, nous avons de meilleurs bateaux. Un autre axe de recherche sont les profils NACA des dérives, lest et safran, mais là c'est compliqué aussi....
Re: Télémétrie et mesure de la vitesse de nos VRC
ok d'accord.
Pour l'instant je reste en DF 95 mais j'aimerai un jour avoir un iom voir un open 60 d'où mon intérêt.
J'aime beaucoup le profil de carène du PM4 (surtout le tableau arrière très creux), mais ils semble que ce soit un bateau qui date !!
Pour l'instant je reste en DF 95 mais j'aimerai un jour avoir un iom voir un open 60 d'où mon intérêt.
J'aime beaucoup le profil de carène du PM4 (surtout le tableau arrière très creux), mais ils semble que ce soit un bateau qui date !!
ofayemendy- Messages : 128
Date d'inscription : 15/05/2020
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Re: Télémétrie et mesure de la vitesse de nos VRC
Je connais trs bien PM (Pierre Marchand) son architecte. Si tu envisages d classe 1M va sur le forum de la classe M, tu auras d'excellents conseils
Re: Télémétrie et mesure de la vitesse de nos VRC
C marrant (pas trop en fait) comme il y a toujours des grincheux ou conservateurs... qui veulent te démontrer que le progrès n'a aucun intérêt, en invoquant les thèmes les plus improbables... Mais bon, il faut de tout pour faire un mondepaolo73 a écrit:oué!...avant d'en arriver là, ça passe aussi et surtout par la connaissance de son bateau , ses performances ,ses réactions comme celles des pouces sans oublier de bonnes voiles .
Connaitre sa vitesse est secondaire et surtout pour quoi en faire??? surement pas pour apprendre a régler ses voiles les distances sont courtes en vrc, pendant que tu regardes le speedo , il avance tout seul , avoir de bonnes voiles est primordiales et savoir les régler à l’œil pour progresser a mon avis .
Rien n’empêche de prendre des repères avec un mètre ou un stylo pour les méticuleux.
Egalement ce qu'il y a sur et sous l'eau qui n'est pas à l'échelle en vrc par rapport à l'élément liquide et le vent .
C'est la répétition de navigations par tous temps et par rapport aux autres pour acquérir de l'expérience et encore les pouces et la vue doivent avoir toutes leurs fonctions pour avoir les sensations que "ça marche".
il faudra aussi un vent régulier, les données recueillies serviront à quoi? et avec quoi comme références? surement une bonne idée mais pas pour apprendre a régler ses voiles en vrc, sur les plans d'eau intérieurs trop de choses perturbent et les bord sont courts. Mais ce sera intéressant de nous dire tes découvertes , la navigation en flotte apportera plus de connaissances , de convivialité et de partages à mon avis , et ce sans faire de la compétition , quoique?... le fait d’être deux sur l'eau ça l'est déjà!....la vrc c'est simple et parfois ça apporte l'humilité et permet de réviser les bases, de ne pas etre à bord a son importance par le manque les sensations Physiques , ne pas transposer ses connaissances de navigations sur grandeur , c'est un plus mais pas que . Adapter ses ambitions à la grandeur de la chose!...mais c'est pas interdit de faire ce que l'on a envie.
Re: Télémétrie et mesure de la vitesse de nos VRC
Chorus F135 a écrit:Je connais trs bien PM (Pierre Marchand) son architecte. Si tu envisages d classe 1M va sur le forum de la classe M, tu auras d'excellents conseils
https://www.classe1metre.org/
Re: Télémétrie et mesure de la vitesse de nos VRC
Merci Chorus F135. J'ai eu l'occasion d'échanger par SMS avec Pierre Marchand et de lui dire combien j'aime les lignes de son PM4 que je trouve actuelles. Il m'a répondu que cela lui avait faire plaisir de voir que 20 ans plus tard son bateau intéresse toujours, mais qu'il n'en fabrique plus. Je ne sais plus si il a garder les moules (j'en doute fort). Du coup, je guette parfois le marché de l'occasion sur le forum de la jauge.Chorus F135 a écrit:Chorus F135 a écrit:Je connais trs bien PM (Pierre Marchand) son architecte. Si tu envisages d classe 1M va sur le forum de la classe M, tu auras d'excellents conseils
https://www.classe1metre.org/
Je trouve que pratiquer le iom reviens cher !!
ofayemendy- Messages : 128
Date d'inscription : 15/05/2020
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Localisation : Martignas sur Jalle (33)
Re: Télémétrie et mesure de la vitesse de nos VRC
Les voiliers RC de régate ne sont PAS des modèles grandeur réduits, car si on conserve les mêmes proportions entre la coque et le gréement le voilier n'avance pas.
En assimilant la carène à un demi cylindre de diamètre 2R et de longueur L
d'une part le volume d'eau déplacé varie comme 1/2 x L x Pi x R x R alors que la surface mouillée varie comme L x Pi x R.
La surface des voiles elle varie comme H x B avec H hauteur du mât et B longueur de bôme, en assimilant les voiles à deux demi rectangles.
Si on prend pour modèle de coque deux demi-cônes de hauteur L collés par leur base de rayon R
le volume vaut Pi × R x R × L / 3
et la surface vaut Pi × R × sqrt(R x R + L x L)
Si bien que grosso modo lorsque on divise la taille du modèle par 2, on divise le volume portant par 8 alors que les surfaces sont divisées par 4.
Le rendement des voiles diminue très vite et la flottabilité encore plus vite...
Comme de plus la vitesse du vent au raz de l'eau est en général plus faible qu'à 3 mètres de haut on compense ce déficit en augmentant la hauteur du mât contrebalancé par un lest situé au bout d'une dérive très allongée.
Quant au calcul théorique de la polaire des vitesses il dépend entre autres de la surface mouillée, de sa forme et de la vitesse de déplacement.
Lire en ligne Calcul de carène
et Hydrodynamique navale
Ces formules (plus ou moins approchées) sont valables pour les navires grandeur.
Les utiliser pour le calcul de polaires des vitesses de modèles réduits me paraît hautement fantaisiste.
Concernant l'évolution des carènes des I.O.M. on constate que l'effort est fait pour diminuer la surface mouillée tout en limitant au maximum l'enfournement. D'où les formes bananes à la BritPop et autres Goth.
Mais il suffirait que les parcours de régates favorisent un peu moins les bords de près et un peu plus les bords au portant pour qu'assurément on ne revienne à des coques planantes.
En assimilant la carène à un demi cylindre de diamètre 2R et de longueur L
d'une part le volume d'eau déplacé varie comme 1/2 x L x Pi x R x R alors que la surface mouillée varie comme L x Pi x R.
La surface des voiles elle varie comme H x B avec H hauteur du mât et B longueur de bôme, en assimilant les voiles à deux demi rectangles.
Si on prend pour modèle de coque deux demi-cônes de hauteur L collés par leur base de rayon R
le volume vaut Pi × R x R × L / 3
et la surface vaut Pi × R × sqrt(R x R + L x L)
Si bien que grosso modo lorsque on divise la taille du modèle par 2, on divise le volume portant par 8 alors que les surfaces sont divisées par 4.
Le rendement des voiles diminue très vite et la flottabilité encore plus vite...
Comme de plus la vitesse du vent au raz de l'eau est en général plus faible qu'à 3 mètres de haut on compense ce déficit en augmentant la hauteur du mât contrebalancé par un lest situé au bout d'une dérive très allongée.
Quant au calcul théorique de la polaire des vitesses il dépend entre autres de la surface mouillée, de sa forme et de la vitesse de déplacement.
Lire en ligne Calcul de carène
et Hydrodynamique navale
Ces formules (plus ou moins approchées) sont valables pour les navires grandeur.
Les utiliser pour le calcul de polaires des vitesses de modèles réduits me paraît hautement fantaisiste.
Concernant l'évolution des carènes des I.O.M. on constate que l'effort est fait pour diminuer la surface mouillée tout en limitant au maximum l'enfournement. D'où les formes bananes à la BritPop et autres Goth.
Mais il suffirait que les parcours de régates favorisent un peu moins les bords de près et un peu plus les bords au portant pour qu'assurément on ne revienne à des coques planantes.
jf44- Admin
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Date d'inscription : 30/09/2019
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